Bonjour à tous
J’ai l’impression d’être un peu docte en écrivant ainsi, et pourtant, il est bon de donner des conseils à des chatons, qui ne me liront pas, mais ce n’est pas grave. Nous allons donc compiler des témoignages de chatons devenus grands :
– Amy (1988-1994) : « mon modèle, c’était mon frère Ritzo. Il a toujours été précoce. A trois semaines, il marchait parfaitement et faisait ses besoins tout seul. Moi, à trois semaines… J’étais très grosse, alors j’avais les pattes qui ramaient plus qu’elles ne me portaient, mais cela s’est arrangé. »
– Cassis-Léia (2004-2010) : « la queue en tire-bouchon, ce n’est pas un cadeau quand on apprend à marcher, tout le monde vous le dira. La queue sert de balancier et vous permet de garder votre équilibre. La mienne ne servait à rien, et contrairement à mon frère jumeau Silver-Luke, j’ai mis du temps à marcher. »
J’ajoute que si vous avez un gros popotin, vous risquez de vous retrouver popotin par-dessus tête, et ce n’est pas forcément facile de se rétablir (et de rétablir sa dignité). Si en plus vous avez de très longs orteils et que vous les écartez à chaque pas, cela n’aide pas à trouver une stabilité.
Je l’admets : je n’ai aucun souvenir de mon apprentissage de la marche. Je marchais à peine que ma mère-chatte est morte. Deux semaines plus tard, mon frère et moi avions de gros problèmes d’yeux. Après ma première opération, j’avais une patte bandée, pour que je ne me gratte pas l’oeil. J’ai marché, oui, mais je n’en garde pas de grands souvenirs.
Bon week-end à tous.
Ici, Max pourra parler de ce que ça fait de marcher avec un gros popotin et Zoé, avec des pattes de girafe ! 😂
Cela complique fortement la vie ! Et quand on est un tout petit chaton de deux semaines et demie, le popotin vous fait faire des galipettes ! Les trois chatons ont des pattes courtes comme leur maman finalement, mais des gros popotins comme papa.
Et quand on est grand, le gros popotin vous fait bien sentir l’attraction terrestre, surtout quand vous essayez de sauter quelque part 😄.
Ah, ils connaissent déjà, même si la croissance n’est pas terminée : « je ne comprends pas, j’ai essayé de sauter et là, quelque chose semble m’avoir retenu ».
Et d’un coup, « boum » !
« Et cela fait mal au popotin, même s’il est rembourré ».
J’imagine, oui !
« Tout ça, parce que maman ne veut pas qu’on la tête, et s’est mise en hauteur ».
😄
« Le sevrage, c’est maintenant, ce n’est pas à neuf mois ».
Oh, Nunzi, que de souvenirs…
Oh Lydia, ici, c’est pareil le matou a un gros popotin et la minette est haute sur pattes 🙂 Comme quoi même frère et sœur peuvent être totalement différents !