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Tous les articles du mois de janvier 2013

Je n’ai pas d’inspiration

Publié 31 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

DesMotsHistoireVoici ma première participation à Des mots une histoire organisé par Olivia dont c’est la 90e édition. Les mots à placer sont créer – palais – concerner – multiples – croire – pourquoi – tous – circonstance – expérimenter – madame

Je fais ce constat ce soir, en me disant que non, vraiment, je n’ai aucune idée de ce que je vais pouvoir écrire. Je me demande même pourquoi je tiens à participer quand même, à créer un texte qui ressemblerait vaguement à … un texte.

C’est vrai qu’en cette circonstance, je n’ai pas choisi la facilité. Ma contribution est garantie sans vampires, sans loup-garou – ou presque. Je laisse madame Imogène d’Arcy au sommet du buffet du salon en compagnie de son cousin Alexander, qui ne croit plus vraiment que la situation puisse s’arranger. Je laisse la cousine Calpurnia McKellen expérimenter les joies du trapèze volant et découvrir celle d’une maison sans dessus dessous à son retour. Je laisse Margareth d’Arcy dans son palais en Ecosse – il est vrai qu’elle n’est pas très concernée par ce qui se passe en France et que vous ne l’avez pas encore rencontrée lors des aventures de Guillaume et Imogène.  Je n’ai garde d’oublier cette charmante panthère qui vient de faire son entrée et qui justifie la prise de hauteur d’Imogène et de son cousin. Reste à savoir combien de temps cette pause salutaire durera – et qui permettra à cette situation un peu compliquée de se dénouer.

Je vous dirai aussi que Chablis miaule à mes côtés, que Lassie a trouvé le moyen de descendre l’escalier sans tomber ou rebondir de marche en marche. Je vous dirai que nous allons tous bien – pour l’instant, et que c’est plutôt une bonne nouvelle.

Je n’oublie pas non plus Urgente de Longue Mare, notre doyenne à toute, qui adore la neige elle aussi – elle a 29 ans.

S

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Bilan de santé

Publié 22 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Bonjour à tous !
J’écris, j’écris, et je parle à peine de ce qui est la destination première de ce blog, à savoir parler de moi et des félins normands.
– je vais bien, même si j’ai eu quelques petits soucis digestifs. Je suis donc aux croquettes mégabeurk pour une durée indéterminée, de manière à résoudre … les problèmes mentionnés ci-dessus.

S
– Chablis va bien. Il fait froid, il ne faut donc plus le pousser pour qu’il rentre. Il ne faut même pas le pousser tout court pour qu’il reste dans la maison ! Il va bien.
S– Mon grand-père Roudoudou a commencé l’année avec un ulcère à la gencive. Après des piqûres de cortisone et un traitement rigoureux, il va mieux et mange à nouveau.

– Hastings est malade à son tour. Il est dans l’infirmerie, où il est nourri et soigné – contrairement à Roudoudou, oncle Hastings ne se laisse pas soigner, et avec le temps qu’il fait, Sharon ne peut pas aller voir le docteur B*** avant la fin de la semaine. Courage Hastings !

– Lassie adore la neige… elle adore sortir…. elle adore revenir avec plein de neige sur son dos.

A bientôt pour un nouveau bulletin d’information !

 

Guillaume et Imogène chapitre 17

Publié 22 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Résumé des épisodes précédents : Guillaume est dans les pommes, Imogène a pris le relais de la narration. Même la présence de Louis, vampire élégant, ne calme pas les tensions entre Russel, maître vampire, et Simon son subordonné rouquin un peu fayot et la famille McKellen. Avoir un vampire chez soi n’est pas de tout repos.

– Si cela ne dérange personne, dit Alexandre, je vais faire un tour dans le jardin. Et si cela dérange quelqu’un, je rappelle que je suis chez moi !

Il sortit en refermant délicatement la porte.

– Je ne veux pas vous paraître indifférent, cependant Amy m’attend.  » Louis, le seul  vampire que je trouvais un peu sympathique, s’inclina profondément devant moi.

– Louis, déclara Russel, vous pouvez rejoindre votre femme. Je sais à quel point il vous en coûte de la laisser seule. Je vous remercie pour votre aide.

Zut ! Il s’inclina à nouveau, et disparut. Pour une fois que je pensais trouver un allié, du moins une personne avec laquelle je pourrais avoir une conversation sensée. Quant à Guillaume… Je crois qu’il ronflait ! Si j’osais, j’irai le réveiller à coup de cornemuse !
Je restais coincée entre Russel, qui allait sans doute me proposer de « lire un livre dans ma chambre », mon oncle Perceval dont la fumée sortait des oreilles et le vampire rouquin, tellement en forme que je le suspectais d’être prêt à courir le marathon. J’allais me retirer dans le salon – au moins, je ne serai pas seule – quand Alexandre rentra.

– Excusez-moi, mais nous avons un petit souci. Je crois qu’un de vos amis veut vous voir. Je ne sais pas lequel d’entre vous est concerné, mais ce n’est ni un McKellen ni un d’Arcy.
– Et comment en êtes-vous si sûr ? fanfaronna Simon, qui avait repris de belles couleurs depuis sa pause déjeuner.
– C’est à dire… Je suis architecte d’intérieur, et j’en ai rencontré, des personnes excentriques. Je puis vous assurer qu’aucune panthère noire mâle ne figure dans mon carnet d’adresse. Un de vos potes métamorphes, sans doute ? Non, parce qu’une vraie panthère ne serait pas calmement en train de tester notre toute nouvelle balancelle.
Simon devint cramoisi, puis tout pâle, avant de virer au violet, avec, me semblait-il, de la fumée qui jaillissait de ses oreilles. Il desserra furtivement sa magnifique lavallière.
– Simon, sussura Russel, je te rappelle que tu n’as pas respiré depuis deux cents quatre vingts ans. Je te conseille, ajouta-t-il en se rapprochant de lui et en ajustant son col, de préparer des arguments solides pour Benedict qui, à mon humble avis, n’apprécie pas du tout tes petites incartades des jours précédents. Je te rappelle, dit-il en époussetant des poussières imaginaires sur les épaules de ce malheureux Simon, que la jalousie de Bénédict est proverbiale chez nous – et même si je n’ai aucun goût particulier pour les mâles, je te rappelle que ton cher et tendre a une imagination débordante. D’ailleurs, moi aussi j’aimerai bien savoir pour quelles raisons tu es ici. »
Marrant. Je lisais dans la tête de Simon comme dans un livre ouvert. J’avais presque pitié de lui. Il avait agi ainsi pour impressionner son compagnon et devant son échec, avait retardé le moment de la confrontation.
– J’insiste, dit Alexandre, il est devant la porte et il s’impatiente.
– Faites le entrer, bégaya Simon.
– Promettez-moi seulement qu’il ne démolira pas mon salon pendant vos explications. Comment l’expliquerai-je à Calpurnia ?
Ce que j’apprécie beaucoup chez mon oncle et mon cousin, ce sont leurs capacités à faire face à toutes les situations, avec tout le flegme écossais dû à notre appartenance au clan MacGregor et à la pratique ancestrale de la cornemuse.
– Ne vous inquiétez pas, vos meubles ne risquent rien. Ce n’est pas le cas de tout le monde.
Simon déglutit péniblement et murmura.
– Faites-le entrer.

Guillaume et Imogène, chapitre 16.

Publié 20 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Résumé des épisodes précédents : Guillaume Berthier, en découvrant le vampire-livreur, s’est évanoui et ne semble pas décidé à se réveiller. Imogène prend donc le relais pour la narration.

Un bruit de chute et des interjections. Que s’était-il encore passé ?

Guillaume était évanoui dans l’entrée !

–          Je crois que c’est ma faute, dit l’homme qui se tenait dans l’entrée. Guillaume et moi nous nous sommes connus quand j’étais encore en vie.

–                     Ce n’est pas une raison ! Je vois des fantômes tous les jours, y compris des fantômes que j’ai bien connus de leurs vivants, et je ne vais pas m’évanouir.

–                     C’est ce que j’aime chez moi, murmura Russel à mon oreille, ta capacité à faire face quoi qu’il arrive.

Simon, lui, était surtout ravi d’avoir de quoi se restaurer, et prit sans façon les flacons des mains de…

–          Louis, me renseigna le nouveau venu.

Il n’avait rien d’effrayant. Petit (1 m 60), mince, vêtu avec une élégance discrète, il devait avoir la cinquantaine quand il avait été métamorphosé.

–          Guillaume, Guillaume, réveillez-vous !

Oncle Percy et Alexandre se concertaient sans discrétion derrière mon dos. Alexouille proposait de lui coller des beignes jusqu’à ce que réveil s’ensuive, Percy suggérait une bassine d’eau froide sur la tronche (sic), Alexouille répliqua que « on allait bousiller le parquet et Calpurnia piquerait une crise. »

–          Vous ne pouvez pas le laisser là, dis-je, il va prendre froid. Il faut le porter dans sa chambre.

–          Je m’’en charge, proposa Louis. C’est de ma faute s’il est inconscient, je dois réparer de mon mieux les dégâts que j’ai causés.

En dépit de son petit gabarit, Louis souleva Guillaume comme une plume et le déposa dans son lit.

–          Et maintenant, on fait quoi ? dit Alexandre. On attend le réveil du pas beau au bois dormant ?

–          Si vous le souhaitez, je connais un très bon médecin vampire, suggéra Simon, qui avait repris des couleurs.

–          Nous avons assez de vampires ici !

Je passai décidément beaucoup de temps à crier.

–            Il ne tient qu’à vous que nous nous en allions… si vous acceptez que je partage votre existence ! Dois-je demander votre main à votre père ?

Merci bien ! Papa dirait : « Seigneur Dieu tout puissant » puis se ressaisirait en hurlant : « non ! » et je ne tenais pas à ce qu’il arrive quoi que ce soit à mes parents, ou à mes frères et sœurs. Oui je sais que je ne me suis pas exprimée à haute voix, mais il lit dans mes pensées. Pourquoi se fatiguer inutilement ?

Guillaume et Imogène, chapitre 15.

Publié 16 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Résumé des épisodes précédents :  Guillaume, Imogène, et toute la famille d’Imogène essaient de se débarrasser d’un vampire métamorphe amoureux d’Imogène. Ils attendent le retour de Piper d’Arcy, la maman de notre chasseuse de fantômes préférée. Mais, de temps en temps, il faut bien penser à se nourrir.

Une autre journée se terminait. Nous nous apprêtions à sortir pour faire des courses quand Russel nous demanda s’il pouvait lui aussi …. amener du ravitaillement.

–          Il est hors de question que vous vous nourrissiez d’un humain devant nous ! hurla Imogène.

Je comprenais mieux ce que certains voulaient dire en parlant de « capacités vocales insoupçonnées ». Russel la regarda, froissé.

–          Ma chère, si vous nous connaissiez un peu mieux, dit-il d’une voix plus glaciale encore qu’un vent venu de Sibérie, vous sauriez qu’un des nôtres a mis au point récemment une boisson de substitution qui règle nos soucis alimentaires. Je vais demander à l’un de mes proches de nous en procurer.

En effet, Simon, le vampire rouquin ne le quittait pas d’une semelle, tout en restant quasiment invisible – un exploit, tant il avait à se faire pardonner. Une heure plus tard, on sonna. Il avait dû choisir le mode livraison express. J’ouvris la porte et….

J’interromps ce quinzième chapitre pour vous signaler que Guillaume vient de tomber dans les pommes et que, visiblement, il compte bien rester dans cet état un certain temps. Il a eu un choc en découvrant le vampire qui apportait la commande. Il faut que je trouve un nouveau narrateur – ou une narratrice.

Tag des soldes

Publié 12 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

J’ai été taguée par Asphodèle !

Je m’empresse d’y répondre, à ma façon.

Pour ce tag, je dois juste me demander ce que j’ offrirai dans les 9 catégories de cadeaux suivantes si j’avais un budget d’environ 9 euros par cadeau.

Livre : Le chat qui connaissait un cardinal de Lilian Jackson Braun.

Chocolat : des tablettes de chocolat à la menthe (oui, Sharon m’a aidée pour la réponse).

Epicerie fine : des croquettes au saumon d’une célèbre marque de croquettes Beurk. Ou des P***** O** pour chaton, un délice. Oui, c’est de l’épicerie fine… pour chat.

Musique : le duo des chats de Rossini.

Culture : un billet pour la maison de Claude Monet à Giverny.

Accessoire de mode : un bonnet (pour le jeu de mots facile que je suis la seule à comprendre).

Gadgets ou truc inutile et affreux : une collerette en plastique pour chat-qui-vient-d’être-opéré.

Boissons : du thé à la rose.

Souvenir d’ailleurs : pas vraiment d’idée…

Challenge Lilian Jackson Braun : premier bilan.

Publié 6 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

wain

Je publie le premier bilan du challenge Lilian Jackson Braun

Les inscrits :

Asphodèle
Le chat qui lisait à l’envers

Bina

Le chat qui vivait haut
Le chat qui n’était pas là
Le chat qui flairait l’embrouille
Le chat qui aimait la brocante
Le chat qui sniffait de la colle
Le chat qui remontait la rivière
Le chat qui lisait à l’envers
Le chat qui mangeait de la laine

Catherine

Chaplum

Le chat qui faisait la bombe

Charlotte

Le chat qui lisait à l’envers

Sharon

Sylvie

Merci à tous pour vos participations !

Guillaume et Imogène, chapitre 14

Publié 3 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Mon résumé : Imogène, qui croyait être débarrassée des vampires pour de bon, découvre qu’elle a ramené chez elle un métamorphe. Que faire ? Oncle Percy lance un appel à l’aide à sa soeur Maggie-Piper, retenue à Inverness.

Toute l’histoire dans la rubrique Guillaume Berthier.

Deux jours s’étaient écoulés depuis que Perceval avait envoyé cette missive à sa sœur. Nous attendions la réponse avec impatience. Nous espérions même plutôt que Maggie-Piper viendrait en personne nous tirer de ce mauvais pas. Imogène boudait. Elle boudait dans sa chambre, elle boudait devant la télévision, elle boudait dans le jardin avec une belle constance. Rufus l’accompagnait, avec toute la discrétion dont il était possible, et sans nous paralyser sur son passage, ce qui était un exploit. Je dois admettre que nous vivions dans un calme relatif, Percy et Alexander faisaient des aller-retour entre le salon et le réfrigérateur.

–                 Yapludpatatartiner ? s’étonna Alexander.

–                 Non, tu as vidé le dernier pot, commentai-je.

Il retourna donc regarder une série en streaming quand un « Bonjour, vous avez un message » nous fit sursauter.

–          Un message de tata Piper ! s’exclama Alexander (oui, je sais, je pourrai l’appeler Alex, sauf que, comme sa cousine, il déteste être appelé par un diminutif).

Il nous le lut :

Bonjour à tous

Je ne peux pas revenir avant demain (mariage de Nelly + opération Ruppert + gros rhume Arthur). Je suis en train de me renseigner sur le sujet. Tenez bon !

Piper d’Arcy.

 

–          L’allumé ! s’écria Alexander.

–          L’allumé ? répétai-je, m’attirant les froncements de sourcils courroucés des McKellen, père et fils.

–          Un détecteur de fantômes qui a fait rire tout le monde en affirmant que les vampires existent. Ils rigoleraient moins s’ils étaient à nos côtés, précisa-t-il en baissant le ton.

–          Il a écrit des articles dans notre revue spécialisée, White Shadows, ajouta Perceval. Je ne les ai jamais lu. Je le prenais… pour un allumé.

–          Au fait, demandais-je, qui est Nelly ? Et Ruppert ?

Le père et le fils se regardèrent.

–          Je crois que nous allons parler de notre famille, me dit le fiston en me prenant par l’épaule. Je vous ai déjà dit que j’avais grandi dans un milieu hostile, entouré par quatre sœurs et six cousines ?

 

Piper poussa la porte étroite qui chancelait et pénétra dans le jardin, magnifique. Elle traversa l’allée bordée de fleurs, et aperçut l’allumé qui lui fit signe de la main. Il peignait une aquarelle, profitant de son mieux du soleil qui brillait sur l’Ecosse.

L’allumé avait un prénom : Paul. Pourtant, tout son linge était brodé aux initiales AR, en hommage à deux artistes qu’il révérait. IL faut dire qu’il semblait tout droit sorti du déjeuner des canotiers avec ses cheveux sur les épaules, soigneusement entretenus, sa blouse et sa palette multicolore.

–          Piper, et il l’accueillit avec sa douce jovialité, que me vaut l’honneur de cette visite ?

Elle lui exposa la situation. Paul n’interrompit pas son ouvrage, pas même pour lui répondre. La lumière était belle, pourtant Piper ressentait une légère pointe d’anxiété au creux du ventre. Il pourrait manifester davantage d’intérêt. Certes, ce n’était pas l’existence de sa fille aînée qui est en jeu, mais tout de même !

–          Piper, que sais-tu des vampires ?

–          J’ai lu Dracula.

–          Alors tu connais la base de la littérature vampirique, celle qui ne nous sert strictement à rien ; Oublie tout. L’ail ? Ils n’aiment pas l’odeur, mais tu auras beau dormir avec un collier d’ail autour du cou, tu ne leur causeras aucun tort. Le soleil ? Avec une bonne protection et des lunettes, il ne leur cause pas grand tort. Le crucifix ? Il peut éventuellement effrayer un vampire chrétien. Cependant, Rufus est un maître vampire, il était déjà un vampire bien avant que la chrétienté existe.

C’était peu dire que Piper avait l’air désespérée. Pourquoi était-ce toujours sur sa fille aînée qui se trouvait prise dans ces situations impossibles ? Laissez-en un peu pour les autres !

–          Piper, prend conscience de la chance que tu as. D’habitude, les vampires se servent et ne préviennent pas. Ils repartent et ne laissent pas de traces. La personne se sent un peu fatiguée, puis, cela passe. Il peut arriver également qu’ils choisissent une personne, mourante, et la transforme pour en faire leur compagne. C’est très rare, mais si cela survient, c’est pour toute la mort.

Piper se sentait glacée. Elle inspira et expira profondément. Tout allait s’arranger, comment, elle ne le savait pas, mais elle trouverait. Elle remercia Paul pour ces précieux renseignements.

–          Tu n’es pas curieuse de savoir comment j’ai acquis mes connaissances sur ces saigneurs ?

Piper esquissa un sourire, crispée.

–          Je ne pense pas que j’ai envie de le savoir.

–          J’ai une idée ! Je t’accompagne. Aurais-tu de la place pour un passager dans ta voiture ? Ne t’inquiète pas, je suis végétarien moi aussi. Tu aurais des carottes, pour la route ? *

*Je ne vous l’ai jamais dit, mais Imogène d’Arcy et toute sa famille sont végétariens, avec un culte certain pour la pâte à tartiner aux noisettes et la confiture de fraise.

Meilleux voeux pour 2013 !

Publié 1 janvier 2013 par Sharon et Nunzi

Les félins normands et moi-même nous vous souhaitons une bonne année 2013 :

– sans problèmes de santé,

– sans accident,

– sans abandon (si vous lisez ce blog vous n’êtes pas concerné… mais je pense à tous les autres !),

– mais avec beaucoup de croquettes au saumon !

Avec mon frère Rodéo, Framboise, Tamara, mon fils Koala, Chablis que Sharon est en train de soigner, mon frère Cacao, Bahia et son oncle Paprika.

La journée a commencé par une partie de baballes à grelots, qu’elle continue ainsi !

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