Et bien, c’est calme – ou presque.
Perceval teste de nouvelles recettes (écossaises, bien sûr) et surveille la parution du dernier numéro de Chasseurs de fantômes avec son ami Paul (Joseph étant comme toujours débordé par ses enfants)
Le grand écrivain… écrit. Mais, un matin, il eut la surprise de se retrouver face à un individu qu’il qualifia aussitôt d’huluberlu. Peu de cheveux que le crâne, le peu qu’il avait étaient tout debout sur la tête, des yeux effarés, un costume en tweed qui aurait bien eu besoin d’un coup de fer et des bottes de pluie aux pieds.
– Hippolyte, l’ex-mari de Lavinia, le père de Gentiane.
– J’ai eu un dégât des eaux chez moi, précisa-t-il un dégât électrique et un dégât de façade. Pour un peu, je dirai que le sort s’acharne sur moi. Perceval a accepté gentiment de m’héberger. J’ai fermé mon cabinet pour l’occasion : je suis notaire.
Ou dira plus tard Percy au grand écrivain, comment passer du flower power à l’ordre, la discipline et la rigueur. Même si son office était actuellement démolie et sous les eaux.
Arf, Percy testant de nouvelles recettes écossaises, je crains le pire !!! 😆 Mais un notaire flower-power embourgeoisé (jusque là rien d’anormal) ça m’intrigue tout de même et pourquoi est-il là ? Oui OK, il a subi des « dégâts » en série mais je suppose que son apparition dans l’histoire n’est pas anodine ! 😉 Vivement la suite !
Moi aussi je crains le pire !
J’adore cette histoire !!!
Meuh non, c’est vraiment trois fois rien. Enfin, d’après Hippolyte. Peut-on vraiment lui faire confiance, là est la question.
Suis pas sûre… 😉
Moi non plus… 😉
Lydia nous sommes au moins deux à le dire haut et fort ! 😀
Hippolyte se sent persécuté tout en racontant son histoire, et il n’a peut-être pas tort ! 😉
Oui ! 🙂
Tant qu’il ne fait pas exploser la cuisinière, ça va.
Le mystère est presque entier : le grand écrivain pense le cuisiner dans la soirée. 😉